Bien que nous entendions souvent parler de notre empreinte carbone individuelle et de celle de l'industrie aérienne, une grande partie de nos émissions collectives proviennent en fait de la construction de bâtiments, en particulier de la production de béton et de la consommation quotidienne d'énergie. L'impression 3D, ou fabrication additive, n'est pas la solution, mais elle fait peut-être partie d'une variété de solutions. Du moins, c'est un domaine de recherche en évolution qui mérite d'être surveillé, en partie parce que la certification de nouveaux matériaux et de nouvelles techniques prend du temps et représente une barrière à l'entrée assez élevée. Les technologies novatrices telles que l'impression 3D sont susceptibles aux restrictions ou bien de montrer la voie à suivre pour d'autres idées innovantes.